Fears
J’ai découvert Jeff Buckley beaucoup trop tard. Ça faisait trois ans qu’il avait eu la stupide idée d’aller se baigner dans le Mississippi.
Noir Désir, j’ai eu le temps d’apprécier. Mais j’ai attendu le dernier album pour tomber complètement dedans, découvrir toute l’ampleur du talent de ce groupe à travers un E.P. et cinq albums. J’ai eu la chance d’assister à un concert de leur dernière tournée. Et puis… pas besoin de vous raconter.
Dans le fil de mes passions musicales, il y a ensuite les Libertines. Trop tard. Mon retard se compte en mois, cette fois-ci, pas en années. Mais trop tard quand même : il n’y aura pas de troisième album.
Dernier coup de cœur en date : les Strokes. Je n’avais jamais vécu ce moment : quand le groupe qu’on aime plus que de raison sort un album. Si la chance est avec moi, j’irai les voir en juin. Si la chance est avec eux, ils sortiront un quatrième album.
Je n’y peux rien, je sais que c’est stupide mais j’y pense parfois. Au fait qu’ils pourraient ne pas sortir ce putain de quatrième album. Parce que mes passions musicales n’ont jamais eu de quoi se nourrir au fil des ans. Parce que la séparation dans un groupe est si vite arrivée. Parce que plein de choses. (J’avoue, la pensée que Julian Casablancas est dans sa vingt-septième année m’a déjà effleurée, ne riez pas.)
Bon alors je vous préviens. Messieurs Strokes, si par malheur, vous ne sortiez pas de quatrième (et excellent) album, je vous traquerais un par un et je vous le ferais regretter. Et si vous avez eu l’idée stupide de vous baigner dans le Mississippi ou dans la baie de New York, vous souffrirez deux fois plus.
Merci.
P.S. : pour le cinquième album et ceux d’après, on décidera ça au moment voulu…
Noir Désir, j’ai eu le temps d’apprécier. Mais j’ai attendu le dernier album pour tomber complètement dedans, découvrir toute l’ampleur du talent de ce groupe à travers un E.P. et cinq albums. J’ai eu la chance d’assister à un concert de leur dernière tournée. Et puis… pas besoin de vous raconter.
Dans le fil de mes passions musicales, il y a ensuite les Libertines. Trop tard. Mon retard se compte en mois, cette fois-ci, pas en années. Mais trop tard quand même : il n’y aura pas de troisième album.
Dernier coup de cœur en date : les Strokes. Je n’avais jamais vécu ce moment : quand le groupe qu’on aime plus que de raison sort un album. Si la chance est avec moi, j’irai les voir en juin. Si la chance est avec eux, ils sortiront un quatrième album.
Je n’y peux rien, je sais que c’est stupide mais j’y pense parfois. Au fait qu’ils pourraient ne pas sortir ce putain de quatrième album. Parce que mes passions musicales n’ont jamais eu de quoi se nourrir au fil des ans. Parce que la séparation dans un groupe est si vite arrivée. Parce que plein de choses. (J’avoue, la pensée que Julian Casablancas est dans sa vingt-septième année m’a déjà effleurée, ne riez pas.)
Bon alors je vous préviens. Messieurs Strokes, si par malheur, vous ne sortiez pas de quatrième (et excellent) album, je vous traquerais un par un et je vous le ferais regretter. Et si vous avez eu l’idée stupide de vous baigner dans le Mississippi ou dans la baie de New York, vous souffrirez deux fois plus.
Merci.
P.S. : pour le cinquième album et ceux d’après, on décidera ça au moment voulu…